Les
principaux facteurs de risque pouvant conduire à la souffrance psychologique au
travail sont :
ü
Une culture d’entreprise qui ne veut pas voir ce
type de comportement ou ne le considère pas comme un problème
ü De mauvais rapports entre collègues
ü Un niveau d’exigence de travail ressenti comme excessif
ü Une augmentation du niveau de stress au travail
ü Un changement soudain d’organisation du travail
ü De la confusion sur les responsabilités de chacun
ü Des conflits d’intérêts hiérarchiques
ü Des défaillances au niveau de la politique de gestion du personnel
Chacun a un rôle dans la prévention de la violence au travail aussi bien les salariés que la hiérarchie.
Hors
de l’entreprise, les interlocuteurs à contacter sont :
ü Les consultations
de pathologies professionnellesü Les consultations spécifiques de souffrance au travail
ü Le médecin généraliste
ü Le médecin-conseil de la sécurité sociale / médecin agréé (comité de réforme / comité médical)
Afin d’analyser
l’organisation du travail et
de permettre la discussion de modalités
de prévention, l’entreprise peut aussi faire appel :
ü
A un consultant extérieur compétent (IPRP)
ü
Aux organismes spécialisés ARACT/ ANACT
En conclusion :
ü Tous les
acteurs de l’entreprise sont concernés par la violence au travail
ü Il est nécessaire
d’effectuer un travail en pluridisciplinarité
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